Tahar rentre chez lui. Chemin faisant, un pneu de sa Pigeot y crève.
Il se range alors sur l'accotement, sort son cric et entreprend de changer sa roue.
Soudain, Djamel, lui aussi dans sa Pigeot, arrive à sa hauteur et freine en catastrophe.
Il sort de sa voiture, se dirige vers le coffre, revient avec un pied de biche et fracasse le pare-brise de la voiture de Tahar...
Tahar, consterné, s'écrie: " Mi, kis ti fou ? "
Djamel lui répond : " Toi, ti prends les roues, moi ji prends la radio !!! "
De là vient le proverbe mieux vaut Tahar que Djamel